Coronaviral

Voià quinze jours que le confinement a changé la vie des Français et que Marc Sinic a entrepris d’en documenter le quotidien. De nouvelles habitudes s’installent (comme la vérando) et s’inscrivent dans la routine. Chacun s’accommode à sa façon de cette nouvelle normalité. En ce triste 1er avril marqué par la distanciation sociale et dans le climat anxiogène actuel, qui oserait faire de l’humour? Sans doute pas grand monde, mais une chose est sûre: vous pouvez toujours compter sur Marc Sinic.

Masque ou pas masque ? Telle est la question. En matière de masque, Marc Sinic, habitué de la Cavalcade de Scaër, en connaît un rayon. Mais vous connaissez l’expression: ce sont toujours les cordonnier qui sont les plus mal chaussés. Et bien pour les masques, c’est pareil.

Coronavirus oblige, le confinement est de rigueur et les rassemblements définitivement à bannir. Pris de remords suite à un week-end riche en apéros, Marc Sinic décide de se retourner dans le droit chemin et se dénonce de lui-même à la Police.

Afin de compenser les numéros doubles précédents, voici un numéro simple couvrant deux jours. Avec les réunions en visioconférence, on ne voit pas le temps passer. Heureusement, Marc SInic a pu trouver un moment pour faire un tour à la Cervoise Tiède.

Confinement ou pas, l’apéro du vendredi soir c’est sacré. Heureusement, Marc Sinic est prévoyant, ayant aménagé son île de vacances pour l’occasion. Il ne vous reste plus qu’à appuyer sur le bouton rouge et à prendre place.

Marre du confinement et de la vérando (randonnée dans la véranda), Marc Sinic s’en va visiter son vieil ami Rufus, héros de bande-dessinée. Rendez-vous est donné à la Cervoise Tiède, bar de la jungle.

Le confinement, ce n’est pas qu’une partie de plaisir. Marc Sinic vous livre ses secrets pour faire face à la solitude, avant de nous rappeler que même dans les situationsi difficiles, il y a toujours moins chanceux que soi.

Ah, le confinement ! Coincé à la maison, avec obligation de glander. L’horreur, quoi !

Pour passer le temps pendant le confinement, quoi de mieux que la lecture? Marc Sinic vous invite à revisiter avec lui sa séléction de chefs-d’oeuvres littéraires (injustement) oubliés. Et puis si ça ne vous suffit pas pour vous évader, vous pouvez toujours vous refaire La Peste de Camus entre deux.

Dans ce numéro double (deux pages!) du Coronaviral, Marc Sinic explore…l’exploration virtuelle. Il vous livre tous les secrets, tels que les prérequis matériels, le mode d’emploi étape par étape, et des conseils de pro pour réussir votre exploration.

A propos de conseil, en voici un qu’on peut vous donner: profitez-en et téléchargez le numéro pendant qu’il est gratuit (on n’ai jamais trop prévoyant).