Coronaviral

Pour survivre, il faut savoir s’adapter, ce qu’a bien compris le virus. Ceci dit, Marc Sinic aussi est capable de changement en profondeur. Autant dire qu’il n’est pas près d’être démasqué.

Y a t-il une vie pendant le confinement? Pour Marc Sinic, le confinement est une chance de redécouvrir les choses simples et les petits plaisirs du quotidien, toujours avec le sourire et un enthousiasme communicatif.

Les saisons 2 ont toujours la vie dure. On leur reproche soit de ne pas être assez innovantes, soit de perdre l’identité de la première saison. Bref, les deuxièmes saisons ont la lourde tâche de surprendre sans dérouter, d’excéder les attentes d’un public toujours plus exigent tout en conservant la magie de la saison initiale. Sauf que pour ça, il faut du talent.

Alors que le comptage interminable des bulletins de vote américains laisse planer le doute sur l’issue des élections, Marc Sinic songe à un avenir plus lointain. Un genre de futur comme on n’en fait plus.

Au cinquième jour, Marc Sinic essaie de prendre la mesure de la situation en termes de consommation, s’imaginant les questions délicates auxquelles le Gouvernement se trouve confronté. Des vraies questions de fond…de teint.

Jour 4, Marc Sinic se remémore une annecdote lui étant arrivée lors de son premier samedi de reconfinement, deux jours plus tôt…

Dans ce numéro, Marc Sinic nous montre que Photoshop, dans les mains expertes du graphiste, peut s’avérer être une arme de création massive, pouvant régler bien des problèmes…mais pas tous.

Le confinement, c’est l’occasion pour Marc Sinic de tenter de pallier au déficit de rigolade du confiné moyen. Une tâche certes difficile, voire impossible au commun des mortels. Une chance alors que Marc Sinic soit doté d’un pouvoir redoutable. Graphiste publicitaire en temps normal, Marc Sinic se change en Confineman le temps d’un confinement généralisé, pourfendant ses ennemis à coup de Photoshop et de jeux de mots imparables.