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Pour fuir le quotidien corona-centrique et se changer les idées, Marc Sinic a un secret : il se plonge littéralement dans ses dessins oniriques, histoire d’être sûr de ne pas avoir à souffrir une énième discussion sur « les masques, est-ce une bonne idée ? » ou « va-t-il falloir reporter la rentrée des classes au mois de septembre ».

En confinement coronaviral, les gens parlent énormément de confinement et de coronavirus. Qui l’eût cru ? Il paraît même qu’il y a des gens qui créent des blogs juste pour chroniquer leur quotidien en confinement. Non mais imaginez !

En confinement, avec l’interdiction même de se promener sur les plages désertes, la peinture de plein air se fait rare. Y aurait-il là un nouveau filon ? Imaginez le concept : la peinture de confinement. Les oeuvres pourraient s’arracher à plusieurs millions d’euros une fois le confinement terminé. Plus que quelques jours, à vos pinceaux !

Comme tous les ans, le 25 avril c’est la Sain-Marc, et comme tous les ans, Marc Sinic constate que peu de gens connaissent son prénom. A moins qu’ils n’oublient ? Pire, l’ignoreraient-ils volontairement ? Heureusement, Marc Sinic peut compter sur son vieil ami Louis de Funès pour célébrer ce jour béni comme il se doit.

En confinement, il est fréquent de perdre la notion du temps. Bien sûr, les visio-apéros du vendredi soir sont là pour rythmer les semaines chargées en vérando et ateliers masques. Mais compte tenu du succès grandissant des visio-apéros, répondre à toutes les invitations n’est pas mince affaire. Heureusement, Marc Sinic, homme de talent multi-casquettes, a la solution.

Fini de rire, maintenant Marc Sinic se penche sur les chiffres du coronavirus avec une petite comparaison entre la France et la Corée du Sud.

Le confinement se prête à la réflexion et au questionnement, voire à la remise en cause de tout ce que l’on croyait savoir. Rufus, lui, a sa petite idée sur le pourquoi du comment, et rien que d’y penser, ça fait froid dans le dos.

Pour bien des Français, le confinement redéfinit la réalité quotidienne. Dans ce numéro, Marc Sinic fait l’expérience d’une réalité à laquelle il a bien du mal à s’adapter. Une réalité au-delà du réel…

Marc Sinic, comme nombre de Français, est un féru de la nouvelle émission phare « Jérôme Salomon, point de situation coronavirus ». Bien sûr les mauvaises langues diront que les points de situations trainent parfois un peu en longueur. Et c’est vrai qu’au rythme actuel entre le début et la fin du point de situation il faut ajouter environ une soixantaine de cas et une douzaine de décès (pour la France). Alors Marc Sinic s’est attelé à faire un résumé pour tous ceux qui ont du mal avec les chiffres.

En confinement, les activités possibles sont limitées. Bravant les interdits, Marc Sinic décide de franchir le périmètre de sécurité autour de sa maison pour s’aventurer dans la rade de Brest. Quelles rencontres insolites fera-t-il ?